En exclusivité pour l’année 2024 découvrez les intérieurs du château avant leur restauration ! En visite guidée, accompagné d'un conférencier vous parcourrez les pièces du château avec leurs riches décors !
Construit en grès et briques, le château de Dampierre-en-Yvelines est une œuvre architecturale à part entière. Commandité par la famille de Luynes et Colbert, l’architecte Jules Hardouin-Mansart a mené le chantier de construction alors qu’il réalisait pour le roi Louis XIV le château de Versailles.
XVe ET XVIe SIÈCLES
Résidence du cardinal Charles de Lorraine, archevêque de Reims et duc de Chevreuse, le château du XVe siècle est jugé trop austère. Il est alors décidé de complètement modifier les lieux, en les agrandissant et les embellissant au goût du XVIe siècle. Dans son ouvrage les Plus Excellents Bastiments de France, Jacques Androuet Du Cerceau illustre et documente cette construction.
XVIIe SIÈCLE
Au cours du XVIIe siècle, le château arrive dans la famille de Luynes, par la veuve de Charles d’Albert, favori de Louis XIII. Par mariage avec la fille aînée de Colbert, le duc Charles Honoré d’Albert, devenu nouveau maître des lieux, entreprit une véritable reconstruction du château, adaptant la demeure au goût du jour en harmonisant l’ensemble et en faisant appel au Premier architecte du roi, Jules Hardouin-Mansart. Ces travaux colossaux durèrent plusieurs années, de 1675 à 1688. C’est un château beaucoup plus vaste et harmonieux – digne d’un membre de la cour que constitue Louis XIV à la même période – qui va prendre forme.
XVIIIe SIÈCLE
Au XVIIIe siècle, si l’aspect extérieur va connaître peu de modifications, le décor intérieur va quant à lui être repensé dans plusieurs pièces de la demeure. De nombreuses menuiseries vont ainsi remplacer les décors antérieurs. En 1758, le château est doté à l’extérieur d’une imposante grille d’honneur. C’est au XIXe siècle que le domaine connaîtra une intense campagne de travaux, qui allait profondément transformer le château et ses jardins.
XIXe SIÈCLE
Le 8e duc de Luynes entreprend de profondes restaurations et a pour volonté de trouver un écrin digne de conserver ses précieuses collections, tout en reflétant un goût nouveau. Pour mener à bien ce projet, il est fait appel à Félix Duban qui s’attachera alors à conserver l’harmonie générale d’un édifice portant les traces d’une histoire chargée et d’un mélange de styles, en rompant la monotonie de l’ensemble et en s’entourant des plus grands artistes de l’époque.
XVe ET XVIe SIÈCLES
Résidence du cardinal Charles de Lorraine, archevêque de Reims et duc de Chevreuse, le château du XVe siècle est jugé trop austère. Il est alors décidé de complètement modifier les lieux, en les agrandissant et les embellissant au goût du XVIe siècle. Dans son ouvrage les Plus Excellents Bastiments de France, Jacques Androuet Du Cerceau illustre et documente cette construction.
XVIIe SIÈCLE
Au cours du XVIIe siècle, le château arrive dans la famille de Luynes, par la veuve de Charles d’Albert, favori de Louis XIII. Par mariage avec la fille aînée de Colbert, le duc Charles Honoré d’Albert, devenu nouveau maître des lieux, entreprit une véritable reconstruction du château, adaptant la demeure au goût du jour en harmonisant l’ensemble et en faisant appel au Premier architecte du roi, Jules Hardouin-Mansart. Ces travaux colossaux durèrent plusieurs années, de 1675 à 1688. C’est un château beaucoup plus vaste et harmonieux – digne d’un membre de la cour que constitue Louis XIV à la même période – qui va prendre forme.
XVIIIe SIÈCLE
Au XVIIIe siècle, si l’aspect extérieur va connaître peu de modifications, le décor intérieur va quant à lui être repensé dans plusieurs pièces de la demeure. De nombreuses menuiseries vont ainsi remplacer les décors antérieurs. En 1758, le château est doté à l’extérieur d’une imposante grille d’honneur. C’est au XIXe siècle que le domaine connaîtra une intense campagne de travaux, qui allait profondément transformer le château et ses jardins.
XIXe SIÈCLE
Le 8e duc de Luynes entreprend de profondes restaurations et a pour volonté de trouver un écrin digne de conserver ses précieuses collections, tout en reflétant un goût nouveau. Pour mener à bien ce projet, il est fait appel à Félix Duban qui s’attachera alors à conserver l’harmonie générale d’un édifice portant les traces d’une histoire chargée et d’un mélange de styles, en rompant la monotonie de l’ensemble et en s’entourant des plus grands artistes de l’époque.
