A Bougival, le pont de Lattre de Tassigny enjambant la Seine a été construit en 1968 pour poursuivre l'axe de la nouvelle chaussée, l'avenue de la Drionne, traversant la commune.
Inauguré en juin 1971 par la Maréchale de Lattre de Tassigny, il permet une bonne circulation pour les voitures, les vélos.
Mais un des atouts de ce pont qui domine la Seine est qu'il offre aux piétons un panorama magnifique en toute saison sur les coteaux de Bougival et sur l'animation du fleuve.
Là, à quelques mètres de l'ancien pont dont on voit encore l'appui sur l'île de la Chaussée, se reflète dans l'eau toutes les variations de la lumière.
Déjà au XIXème siècle, la traversée du fleuve avait inspiré des artistes : les élégantes prêtes à prendre le bac que le peintre W. Turner décrit dans son aquarelle « embarquement à Bougival »1830(Bristish Museum), car il fallait emprunter des bacs pour traverser la Seine.
Puis un pont à péage fût construit et inauguré en 1858 : c'est celui rendu célèbre par la peinture de Claude Monet « le pont de Bougival » (Manchester, U.S.A) qui l'empruntait pour rejoindre l'île de la Chaussée. De là il pouvait rejoindre La Grenouillère où, avec son ami Renoir, il inventa une nouvelle manière pour peindre les reflets de la lumière sur l'eau.
Si l'animation d'un pont aujourd'hui se traduit par des bruits de moteurs et de freinages, il en était différemment au XIXème siècle. Les charrettes chargées faisaient résonner sur les pavés leurs roues cerclées de fer ; on se bousculait, s'interpellait, et il fallait s'arrêter pour payer le péage à l'entrée du pont.
Mais un des atouts de ce pont qui domine la Seine est qu'il offre aux piétons un panorama magnifique en toute saison sur les coteaux de Bougival et sur l'animation du fleuve.
Là, à quelques mètres de l'ancien pont dont on voit encore l'appui sur l'île de la Chaussée, se reflète dans l'eau toutes les variations de la lumière.
Déjà au XIXème siècle, la traversée du fleuve avait inspiré des artistes : les élégantes prêtes à prendre le bac que le peintre W. Turner décrit dans son aquarelle « embarquement à Bougival »1830(Bristish Museum), car il fallait emprunter des bacs pour traverser la Seine.
Puis un pont à péage fût construit et inauguré en 1858 : c'est celui rendu célèbre par la peinture de Claude Monet « le pont de Bougival » (Manchester, U.S.A) qui l'empruntait pour rejoindre l'île de la Chaussée. De là il pouvait rejoindre La Grenouillère où, avec son ami Renoir, il inventa une nouvelle manière pour peindre les reflets de la lumière sur l'eau.
Si l'animation d'un pont aujourd'hui se traduit par des bruits de moteurs et de freinages, il en était différemment au XIXème siècle. Les charrettes chargées faisaient résonner sur les pavés leurs roues cerclées de fer ; on se bousculait, s'interpellait, et il fallait s'arrêter pour payer le péage à l'entrée du pont.
