Labellisée Maison des Illustres en 2023, la maison-musée d’Ivan Tourguéniev est une invitation à remonter le temps, à la rencontre d’un écrivain humaniste et profondément attaché à la France.
Nichée à Bougival, sur les hauteurs d’un parc arboré, cette demeure au charme singulier évoque tout à la fois la Russie natale de l’écrivain et l’Europe romantique du XIXe siècle.
C’est ici, dans ce chalet aux allures mi-russes, mi-suisses que l’auteur des « Récits d’un chasseur » et de « Terres vierges » passa les neuf dernières années de sa vie. Entouré d’arbres, de livres et de musique, Tourguéniev y trouva une terre d’inspiration féconde. Il y écrivit certaines de ses œuvres majeures et y acheva, en 1876, la traduction russe de « La légende de Saint Julien l’Hospitalier » de son ami Gustave Flaubert.
La Datcha, comme il aimait l’appeler, s’élève au cœur du domaine des Frênes, propriété de la famille de la cantatrice Pauline Viardot, muse et amie fidèle qu’il avait rencontrée à Saint-Pétersbourg. Une relation profonde, marquée par quarante années de correspondance, d’admiration et de proximité artistique, jusqu’à la mort de l’écrivain en 1883.
Un lieu de mémoire et de rencontres artistiques
La maison conserve l’esprit et l’intimité de l’écrivain : son pianoforte, ses photographies personnelles, son cabinet d’écriture, sa chambre… Chaque pièce évoque son engagement pour la liberté, son opposition à l’esclavage, son amour de la nature et des arts.
Au fil de la visite, on imagine les conversations passionnées et les soirées musicales partagées avec les grandes figures de l’époque. Car la Datcha fut aussi un salon littéraire vivant, fréquenté par des noms illustres : Maupassant, Zola, Georges Sand, Alexandre Dumas, Maeterlinck, Chopin… Un véritable carrefour d’influences, de cultures et d’idées.
Une étape émouvante sur la Route des Maisons d’Écrivains
Intégrée à la Route des Maisons d’Écrivains, la Datcha d’Ivan Tourguéniev est bien plus qu’un musée : c’est un lieu vibrant, où la littérature prend vie dans un cadre enchanteur. La visite, sensible et documentée, permet de mieux comprendre l’homme derrière l’écrivain, son époque, ses combats et ses amitiés.
À ne pas manquer
La visite de la villa palladienne de Pauline Viardot, accessible au sein du domaine
Le parc arboré et paisible, propice à la flânerie
Les expositions temporaires et événements littéraires organisés tout au long de l’année
C’est ici, dans ce chalet aux allures mi-russes, mi-suisses que l’auteur des « Récits d’un chasseur » et de « Terres vierges » passa les neuf dernières années de sa vie. Entouré d’arbres, de livres et de musique, Tourguéniev y trouva une terre d’inspiration féconde. Il y écrivit certaines de ses œuvres majeures et y acheva, en 1876, la traduction russe de « La légende de Saint Julien l’Hospitalier » de son ami Gustave Flaubert.
La Datcha, comme il aimait l’appeler, s’élève au cœur du domaine des Frênes, propriété de la famille de la cantatrice Pauline Viardot, muse et amie fidèle qu’il avait rencontrée à Saint-Pétersbourg. Une relation profonde, marquée par quarante années de correspondance, d’admiration et de proximité artistique, jusqu’à la mort de l’écrivain en 1883.
Un lieu de mémoire et de rencontres artistiques
La maison conserve l’esprit et l’intimité de l’écrivain : son pianoforte, ses photographies personnelles, son cabinet d’écriture, sa chambre… Chaque pièce évoque son engagement pour la liberté, son opposition à l’esclavage, son amour de la nature et des arts.
Au fil de la visite, on imagine les conversations passionnées et les soirées musicales partagées avec les grandes figures de l’époque. Car la Datcha fut aussi un salon littéraire vivant, fréquenté par des noms illustres : Maupassant, Zola, Georges Sand, Alexandre Dumas, Maeterlinck, Chopin… Un véritable carrefour d’influences, de cultures et d’idées.
Une étape émouvante sur la Route des Maisons d’Écrivains
Intégrée à la Route des Maisons d’Écrivains, la Datcha d’Ivan Tourguéniev est bien plus qu’un musée : c’est un lieu vibrant, où la littérature prend vie dans un cadre enchanteur. La visite, sensible et documentée, permet de mieux comprendre l’homme derrière l’écrivain, son époque, ses combats et ses amitiés.
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