De Paris à Broadway, de « Chicago » à « Monopolis » ou encore de « Fame » à « All That Jazz », résonnent les voix de Liza Minelli, Barbra Streisand, Judy Garland et bien d’autres étoiles, « somewhere… over the rainbow »…
Alors qu’il vient de terminer ses études, Dorante revient à Paris, bien résolu à profiter des plaisirs de la capitale. En compagnie de son valet, il rencontre deux jeunes coquettes aux Tuileries et s’invente une carrière militaire pour les éblouir.
S’ensuit un imbroglio diabolique mêlant : jeunes femmes, père et ami. Faisant fi de l’honneur, des serments d’amitié et d’amour, Dorante s’enferre dans un engrenage de mensonges qui déclenche d’irrésistibles quiproquos. Les jeunes femmes n’étant pas en reste de supercherie. Qui sera le vainqueur de ce jeu de dupes ?
Le Menteur dernière comédie baroque de Corneille est une réflexion sur les dangers de la comédie du mensonge avec une touche de satire sociale. Elle connut dès sa création un très grand succès. L’adaptation de Marion Bierry est diablement rafraichissante, elle y mêle des extraits de La Suite du Menteur et des vers de La Veuve façon de respecter cette facétie typiquement cornélienne de jouer, au théâtre, avec le théâtre.
« Je vous présente une pièce de théâtre d’un style si éloigné de ma dernière, qu’on aura de la peine à croire qu’elles soient parties toutes deux de la même main, dans le même hiver. Aussi les raisons qui m’ont obligé à y travailler ont été bien différentes. J’ai fait Pompée pour satisfaire à ceux qui ne trouvaient pas les vers de Polyeucte si puissants que ceux de Cinna, et leur montrer que j’en saurais bien retrouver la pompe quand le sujet le pourrait souffrir ; j’ai fait Le Menteur pour contenter les souhaits de beaucoup d’autres qui, suivant l’humeur des Français, aiment le changement, et, après tant de poèmes graves dont nos meilleures plumes ont enrichi la scène, m’ont demandé quelque chose de plus enjoué qui ne servît qu’à les divertir.» Corneille
S’ensuit un imbroglio diabolique mêlant : jeunes femmes, père et ami. Faisant fi de l’honneur, des serments d’amitié et d’amour, Dorante s’enferre dans un engrenage de mensonges qui déclenche d’irrésistibles quiproquos. Les jeunes femmes n’étant pas en reste de supercherie. Qui sera le vainqueur de ce jeu de dupes ?
Le Menteur dernière comédie baroque de Corneille est une réflexion sur les dangers de la comédie du mensonge avec une touche de satire sociale. Elle connut dès sa création un très grand succès. L’adaptation de Marion Bierry est diablement rafraichissante, elle y mêle des extraits de La Suite du Menteur et des vers de La Veuve façon de respecter cette facétie typiquement cornélienne de jouer, au théâtre, avec le théâtre.
« Je vous présente une pièce de théâtre d’un style si éloigné de ma dernière, qu’on aura de la peine à croire qu’elles soient parties toutes deux de la même main, dans le même hiver. Aussi les raisons qui m’ont obligé à y travailler ont été bien différentes. J’ai fait Pompée pour satisfaire à ceux qui ne trouvaient pas les vers de Polyeucte si puissants que ceux de Cinna, et leur montrer que j’en saurais bien retrouver la pompe quand le sujet le pourrait souffrir ; j’ai fait Le Menteur pour contenter les souhaits de beaucoup d’autres qui, suivant l’humeur des Français, aiment le changement, et, après tant de poèmes graves dont nos meilleures plumes ont enrichi la scène, m’ont demandé quelque chose de plus enjoué qui ne servît qu’à les divertir.» Corneille