Autour d’une création d’Adrien Trybucki, les Pages et les Chantres du Centre de musique baroque de Versailles proposent un panorama d’œuvres à double-chœur à travers les siècles, à l’occasion d’un partenariat inédit entre le CMBV et l’Ircam.
À l’image de Janus, Dieu romain à deux visages, l’un tourné vers le passé et l’autre vers le futur, le CMBV s’est associé à l’Ircam, avec le soutien du ministère de la Culture et a passé commande, pour sa Maîtrise, de quatre œuvres nouvelles à quatre jeunes compositrices et compositeurs européens.
Cette troisième saison voit la création du compositeur français Adrien Trybucki, sur un texte de Jacques Roubaud : La Maladie de l’âme, à double-chœur a capella et double direction. En regard de cette œuvre, le Motet pour les trépassés de Marc-Antoine Charpentier, sous-titré Plaintes des âmes du purgatoire, n’est pas sans rappeler les cercles de l’Enfer de La Divine Comédie de Dante. Tissant le fil rouge de cette thématique à double-chœur, ce programme permettra d’entendre également des œuvres de Nicolas Formé, compositeur favori de Louis XIII et Pierre Robert, choisi par Louis XIV pour être l’un des sous-maîtres de la Chapelle Royale. Enfin, la Messe à double-chœur de Frank Martin, composé entre 1922 et 1926 viendra illustrer également cette thématique.
Une rencontre au présent, parcourant les siècles, d’hier à aujourd’hui.
Cette troisième saison voit la création du compositeur français Adrien Trybucki, sur un texte de Jacques Roubaud : La Maladie de l’âme, à double-chœur a capella et double direction. En regard de cette œuvre, le Motet pour les trépassés de Marc-Antoine Charpentier, sous-titré Plaintes des âmes du purgatoire, n’est pas sans rappeler les cercles de l’Enfer de La Divine Comédie de Dante. Tissant le fil rouge de cette thématique à double-chœur, ce programme permettra d’entendre également des œuvres de Nicolas Formé, compositeur favori de Louis XIII et Pierre Robert, choisi par Louis XIV pour être l’un des sous-maîtres de la Chapelle Royale. Enfin, la Messe à double-chœur de Frank Martin, composé entre 1922 et 1926 viendra illustrer également cette thématique.
Une rencontre au présent, parcourant les siècles, d’hier à aujourd’hui.
