A la découverte du château d’Issou, joyau historique niché dans un parc classé. Entre légendes, amours secrètes de la marquise de Pompadour et vestiges médiévaux, ce lieu chargé d’histoire offre une plongée fascinante dans plusieurs siècles de patrimoine.
« Cet endroit est le plus joli du monde », écrivait Madame de Tessin en 1739 après un séjour au château d’Issou. Édifié vers 1399, il conserve encore aujourd’hui une tour carrée médiévale et un colombier rond, restaurés dans les années 1990.
Au XVIIIe siècle, le domaine devient la propriété du duc de Bouillon, célèbre pour y avoir accueilli ses rencontres avec la marquise de Pompadour. Selon la légende, sa devise « Horace Non Numero Nisi Serenas » : « je ne compte que les heures sans nuages », est encore visible sur le pigeonnier.
Rénové en 1903 dans le style du XVIIIe siècle, le château a traversé les époques : réquisitionné par l’armée allemande durant la Seconde Guerre mondiale, il servit notamment de base pour les véhicules Goliath de la Wehrmacht.
Lieu de cinéma, il a accueilli le tournage de films prestigieux tels que Camille Claudel (1987) et Le Pacte des loups (2001). Classés depuis 1974, le château et son parc appartiennent aujourd’hui à la commune d’Issou, qui veille à préserver ce site emblématique, témoin vivant de l’histoire locale.
Au XVIIIe siècle, le domaine devient la propriété du duc de Bouillon, célèbre pour y avoir accueilli ses rencontres avec la marquise de Pompadour. Selon la légende, sa devise « Horace Non Numero Nisi Serenas » : « je ne compte que les heures sans nuages », est encore visible sur le pigeonnier.
Rénové en 1903 dans le style du XVIIIe siècle, le château a traversé les époques : réquisitionné par l’armée allemande durant la Seconde Guerre mondiale, il servit notamment de base pour les véhicules Goliath de la Wehrmacht.
Lieu de cinéma, il a accueilli le tournage de films prestigieux tels que Camille Claudel (1987) et Le Pacte des loups (2001). Classés depuis 1974, le château et son parc appartiennent aujourd’hui à la commune d’Issou, qui veille à préserver ce site emblématique, témoin vivant de l’histoire locale.
