Touche ? Pas touche ? Dans cette pièce dédiée au contact physique, Laura Bachman et Marion Barbeau explorent les ambiguïtés de notre rapport au corps, en complicité avec l’accordéoniste Vincent Peirani.
Touche ? Pas touche ? Dans cette pièce dédiée au contact physique, Laura Bachman et Marion Barbeau explorent les ambiguïtés de notre rapport au corps, en complicité avec l’accordéoniste Vincent Peirani. Entre ombres et lumières, un pas de deux délicat, sensuel et puissant.
Quelque chose démange. Irrésistiblement. D’où cela vient-il ? Pourquoi accepte-t-on d’être touché ou pas ? Quels gestes tolérons-nous ? Quels sont ceux que nous apprécions ? Laura Bachman a été jeune interprète de l’Opéra national de Paris puis de la Compagnie de Benjamin Millepied, avant d’intégrer celle d’Anne Teresa de Keersmaeker. Quant à Marion Barbeau, elle est première danseuse du Ballet de l’Opéra national de Paris, connue du grand public pour son premier rôle dans le dernier film de Cédric Klapisch En Corps. Dans une danse qui glisse du duo au duel, du double au miroir, les deux interprètes explorent les multiples facettes du rapprochement des corps. Et touchent du doigt de nombreux sujets de société : la solitude des êtres, le consentement, la violence, la sensualité de la peau, la séduction. Dans la caresse de l’accordéon de Vincent Peirani, l’ouïe comme la vue sont totalement envoûtées.
Quelque chose démange. Irrésistiblement. D’où cela vient-il ? Pourquoi accepte-t-on d’être touché ou pas ? Quels gestes tolérons-nous ? Quels sont ceux que nous apprécions ? Laura Bachman a été jeune interprète de l’Opéra national de Paris puis de la Compagnie de Benjamin Millepied, avant d’intégrer celle d’Anne Teresa de Keersmaeker. Quant à Marion Barbeau, elle est première danseuse du Ballet de l’Opéra national de Paris, connue du grand public pour son premier rôle dans le dernier film de Cédric Klapisch En Corps. Dans une danse qui glisse du duo au duel, du double au miroir, les deux interprètes explorent les multiples facettes du rapprochement des corps. Et touchent du doigt de nombreux sujets de société : la solitude des êtres, le consentement, la violence, la sensualité de la peau, la séduction. Dans la caresse de l’accordéon de Vincent Peirani, l’ouïe comme la vue sont totalement envoûtées.