De Stefano MASSINI Traduction de Pietro Pizzuti Mise en scène : Tadrina Hocking Avec Pierre Berçot et Caroline Rochefort
MATRIOSHKA PRODUCTIONS / ATELIER THÉÂTRE ACTUEL / CHOUETTE COMPAGNIE
Anna Politkovskaïa dérange et parle trop. Unique journaliste russe à couvrir la guerre en Tchétchénie, elle dénonce les atrocités commises et vit sous la menace constante. Le 7 octobre 2006, elle est retrouvée assassinée dans la cage d’escalier de son immeuble à Moscou.
Face à la volonté de certains pays de contrôler l’information et de faire taire ceux qui portent un discours divergent de la propagande officielle, ce texte fort, engagé et d’une lucidité implacable, raconte six années de notes, d’articles et d’interviews vécus avec la nécessité d’informer par Anna Politkovskaïa. Il nous rappelle la nécessité absolue et sans concession de la liberté de la presse, un des principes fondamentaux de la démocratie.
« Je suis journaliste. Mon affaire est très simple. Je dois raconter ce que j’ai vu. » Anna Politkovskaïa sur France Culture en 2003
Anna Politkovskaïa dérange et parle trop. Unique journaliste russe à couvrir la guerre en Tchétchénie, elle dénonce les atrocités commises et vit sous la menace constante. Le 7 octobre 2006, elle est retrouvée assassinée dans la cage d’escalier de son immeuble à Moscou.
Face à la volonté de certains pays de contrôler l’information et de faire taire ceux qui portent un discours divergent de la propagande officielle, ce texte fort, engagé et d’une lucidité implacable, raconte six années de notes, d’articles et d’interviews vécus avec la nécessité d’informer par Anna Politkovskaïa. Il nous rappelle la nécessité absolue et sans concession de la liberté de la presse, un des principes fondamentaux de la démocratie.
« Je suis journaliste. Mon affaire est très simple. Je dois raconter ce que j’ai vu. » Anna Politkovskaïa sur France Culture en 2003