Abrazo. Étreinte. Tantôt enlacement de sa partenaire de danse, tantôt accolade fraternelle.
Existe-t-il une meilleure image pour le duo composé de l'accordéoniste Vincent Peirani et du saxophoniste soprano Émile Parisien ? « Abrazo » ne s’inspire non pas de l’œuvre d’un compositeur mais d’une forme d'art, d’une culture : le tango, son élégance, sa mélancolie et sa puissance rythmique et mélodique. Ce qui unit ces différents éléments est la profonde affinité que l’on ne peut qu’entendre entre Peirani et Parisien.
Elle naît de l’incroyable finesse de leurs interactions et de l’exceptionnelle approche novatrice qu’ils ont tous deux de leurs instruments.
Quelque chose sonne ici de façon complètement magique. Il semble que les ingrédients de cette potion hypnotique pourraient venir de n'importe où : jazz traditionnel ou moderne, avant-garde libre, classique, folklore, rock, électronique, musique nouvelle
ou ancienne, la soif de nouveauté, le désir d'aventure semblent insatiables.
Elle naît de l’incroyable finesse de leurs interactions et de l’exceptionnelle approche novatrice qu’ils ont tous deux de leurs instruments.
Quelque chose sonne ici de façon complètement magique. Il semble que les ingrédients de cette potion hypnotique pourraient venir de n'importe où : jazz traditionnel ou moderne, avant-garde libre, classique, folklore, rock, électronique, musique nouvelle
ou ancienne, la soif de nouveauté, le désir d'aventure semblent insatiables.