Rétrospective de ses vingt-cinq dernières années du peintre Gonzague Chupin. Aquarelles et gouaches, huiles, collages : un cheminement de l’expression à l’abstraction à travers une centaine d’œuvres.
L’abstraction à travers une centaine d’œuvres.
Expressionnisme, Abstraction, deux courants artistiques qui ont illuminé le XXe siècle. Peintre : Gonzague Chupin.
Expression d’abord. C’est faire danser les paysages de l’aquarelliste ; faire valser les toitures alsaciennes pour inspirer une toile. Dictées par les ondulations musicales des ballons vosgiens, des formes se constituent en alphabet pour condamner la violence, dire les horreurs de la guerre et chanter la vie sous toutes ses formes – morphologie –.
Les collages de bouts de photos et de magazines se prêtent à l’expression. Ils permettent aussi une évolution vers l’abstraction : mes collages de lettres sont illisibles.
L’abstraction c’est Estève, Soulage et surtout Jacques Villon et François Kupka qui cultivent à Puteaux le beau dessin. Ils m’entraînent vers une peinture plus rigoureuse. Une trame de huit parties, trois d’un côté, cinq de l’autre. C’est mon actuel credo qu’il me faudra bien savoir dépasser.
Expressionnisme, Abstraction, deux courants artistiques qui ont illuminé le XXe siècle. Peintre : Gonzague Chupin.
Expression d’abord. C’est faire danser les paysages de l’aquarelliste ; faire valser les toitures alsaciennes pour inspirer une toile. Dictées par les ondulations musicales des ballons vosgiens, des formes se constituent en alphabet pour condamner la violence, dire les horreurs de la guerre et chanter la vie sous toutes ses formes – morphologie –.
Les collages de bouts de photos et de magazines se prêtent à l’expression. Ils permettent aussi une évolution vers l’abstraction : mes collages de lettres sont illisibles.
L’abstraction c’est Estève, Soulage et surtout Jacques Villon et François Kupka qui cultivent à Puteaux le beau dessin. Ils m’entraînent vers une peinture plus rigoureuse. Une trame de huit parties, trois d’un côté, cinq de l’autre. C’est mon actuel credo qu’il me faudra bien savoir dépasser.
